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Essai

Le maire UMP de Bordeaux, Alain Juppé, a annoncé implicitement samedi son entrée au gouvernement en déclarant sur France Info que ce "n'est pas la première fois qu'un ministre est maire d'une grande ville", avant d'ajouter: "j'espère démontrer (aux Bordelais) que je peux faire les deux choses". L'ancien premier ministre n'a pas précisé de quel ministère il prendrait la tête.

De retour de Séoul, Nicolas Sarkozy s'était attelé samedi matin au remaniement du gouvernement, en entamant un long week-end de consultations. Le chef de l'Etat devait notamment mettre fin au bras de fer entre François Fillon et Jean-Louis Borloo pour Matignon. Premier à être reçu à l'Elysée, François Fillon est arrivé au Palais présidentiel à 11 h 30 pour en repartir à 13 heures. Rien n'a filtré de cet entretien, la presse étant tenue à l'écart de l'Elysée.

Annoncé il y a cinq mois, ce remaniement, qui sera rendu public lundi, a viré au fil des semaines au bras de fer entre l'actuel locataire de Matignon et Jean-Louis Borloo, numéro deux du gouvernement, poussé par l'Elysée. Samedi, l'hypothèse d'une reconduction de M. Fillon était considérée, par des sources gouvernementales, comme quasi certaine.

Samedi, l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin a poussé les feux de M. Borloo en plaidant dans Le Monde pour une "rupture à caractère social", un changement de Premier ministre et son remplacement par le numéro 2 du gouvernement ou un membre de la jeune génération.

M. Raffarin, qui ne s'entend pas avec M. Fillon, a dit "craindre le conservatisme, le statu quo" si ce dernier restait à Matignon. Pour lui, si on ne crée "pas une nouvelle donne politique durant l'acte II du quinquennat", le risque est grand pour la droite de perdre la présidentielle de 2012.

Le maire UMP de Bordeaux, Alain Juppé, a annoncé implicitement samedi son entrée au gouvernement en déclarant sur France Info que ce "n'est pas la première fois qu'un ministre est maire d'une grande ville", avant d'ajouter: "j'espère démontrer (aux Bordelais) que je peux faire les deux choses". L'ancien premier ministre n'a pas précisé de quel ministère il prendrait la tête.

De retour de Séoul, Nicolas Sarkozy s'était attelé samedi matin au remaniement du gouvernement, en entamant un long week-end de consultations. Le chef de l'Etat devait notamment mettre fin au bras de fer entre François Fillon et Jean-Louis Borloo pour Matignon. Premier à être reçu à l'Elysée, François Fillon est arrivé au Palais présidentiel à 11 h 30 pour en repartir à 13 heures. Rien n'a filtré de cet entretien, la presse étant tenue à l'écart de l'Elysée.

Annoncé il y a cinq mois, ce remaniement, qui sera rendu public lundi, a viré au fil des semaines au bras de fer entre l'actuel locataire de Matignon et Jean-Louis Borloo, numéro deux du gouvernement, poussé par l'Elysée. Samedi, l'hypothèse d'une reconduction de M. Fillon était considérée, par des sources gouvernementales, comme quasi certaine.

Samedi, l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin a poussé les feux de M. Borloo en plaidant dans Le Monde pour une "rupture à caractère social", un changement de Premier ministre et son remplacement par le numéro 2 du gouvernement ou un membre de la jeune génération.

M. Raffarin, qui ne s'entend pas avec M. Fillon, a dit "craindre le conservatisme, le statu quo" si ce dernier restait à Matignon. Pour lui, si on ne crée "pas une nouvelle donne politique durant l'acte II du quinquennat", le risque est grand pour la droite de perdre la présidentielle de 2012.

Le maire UMP de Bordeaux, Alain Juppé, a annoncé implicitement samedi son entrée au gouvernement en déclarant sur France Info que ce "n'est pas la première fois qu'un ministre est maire d'une grande ville", avant d'ajouter: "j'espère démontrer (aux Bordelais) que je peux faire les deux choses". L'ancien premier ministre n'a pas précisé de quel ministère il prendrait la tête.

De retour de Séoul, Nicolas Sarkozy s'était attelé samedi matin au remaniement du gouvernement, en entamant un long week-end de consultations. Le chef de l'Etat devait notamment mettre fin au bras de fer entre François Fillon et Jean-Louis Borloo pour Matignon. Premier à être reçu à l'Elysée, François Fillon est arrivé au Palais présidentiel à 11 h 30 pour en repartir à 13 heures. Rien n'a filtré de cet entretien, la presse étant tenue à l'écart de l'Elysée.

Annoncé il y a cinq mois, ce remaniement, qui sera rendu public lundi, a viré au fil des semaines au bras de fer entre l'actuel locataire de Matignon et Jean-Louis Borloo, numéro deux du gouvernement, poussé par l'Elysée. Samedi, l'hypothèse d'une reconduction de M. Fillon était considérée, par des sources gouvernementales, comme quasi certaine.

Samedi, l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin a poussé les feux de M. Borloo en plaidant dans Le Monde pour une "rupture à caractère social", un changement de Premier ministre et son remplacement par le numéro 2 du gouvernement ou un membre de la jeune génération.

M. Raffarin, qui ne s'entend pas avec M. Fillon, a dit "craindre le conservatisme, le statu quo" si ce dernier restait à Matignon. Pour lui, si on ne crée "pas une nouvelle donne politique durant l'acte II du quinquennat", le risque est grand pour la droite de perdre la présidentielle de 2012.

 

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